The latest film from Alejandro Gonzalez Iñarritu, the director of "Amores Perros" and "21 grams" -in which benicio del Torro gives a spectacular performance!- is the must-see movie of the season.
A dark affair indeed it is this description of the incredible solitude and violence of the world in which we live. Perhaps the first film I have seen that threats directly of globalization. But globalization as in the opportunities that arise for people unrelated to get in touch with one another, to touch one another, a (superficial) contact between people/civilizations ends up being a non-dialogue. Moreover, AGI gives us a scolding vision of our societies ability to generate an incredible level of violence, much to the disinterest of anyone and everyone.
A dark, somber tale, with a remarkable interpretation from Koji Yakusho. Great camera work, heightened sense of colors and granular treatment. AGI knows how to domesticate light, and that also is a treat.
T -
11/27/2006
10/18/2006
Le tétard de l´année...
10/12/2006
Le ras-le-bol...
du boulot chez Ericsson, de leur double language sur les perspectives de carrière, sur le fait que des efforts de longue durée se trouvent anihilés en deux secondes par une personne qui n´en à rien à foutre! Ma deçision est prise, je balance mon CV à gauche et à droite pour trouver un autre taffe.
Bien entendu, toute cette conversation se situe dans un dialogue avec Marquise sur le lieu ou nous voulons vivre, l´absence de Clara étant le moteur principal de cette question.
Pas de nouvelles pour l´instant sur l´un où l´autre de ces points...
T -
Bien entendu, toute cette conversation se situe dans un dialogue avec Marquise sur le lieu ou nous voulons vivre, l´absence de Clara étant le moteur principal de cette question.
Pas de nouvelles pour l´instant sur l´un où l´autre de ces points...
T -
10/06/2006
madeleine !
Thomas est a Stockholm, Clara a Paris et moi a Mexico.. C`et le genre de semaine qui s`annonce difficile pour le moral. Je n`aime pas etre separee de mon « èpoux » ni le savoir dans la tourmente des avions hotels et dècalages horaires. Heureusement mon boulot a la Casa de Francia me tient a la surface et refoule les idèes noires mais pas les larmes.. je suis une vraie madeleine ( pas encore baleine) et la grossesse n`arrange rien… plus fragile. Thomas est formidable il sait tout ce qui se passe dans ma tete et ce que je voudrais lui èviter. Hier au tèlèphone, tard dans la nuit pour lui, il a propose que nous changions d`axe, du moins y reflechir. Je sais combien cela lui coute, j`ai tant voulu ce reve pour lui, pour nous. J`admire son ouverture d`esprit, sa capacitè a se remettre en cause, et j`entends dans ces paroles tout son amour pour moi et… cela me met la larme a l`œil ! encore !
A-
A-
9/15/2006
jardins d`andalousie
J`ai reçu le premier de mes parents le jour de mes 18 ans , et le deuxieme hier, de la part de mon èpoux. Thomas est revenu de voyage avec la petite boite orange : un carre Hermes egrenant ses grappes de grenades, ses fleurs a foison et ses couleurs chatoyantes. "Jardin d`Andalousie".Magnifique. Le geste, la pensee, le cadeau... Je porte son enfant, son foulard- notre amour.
A-
A-
9/14/2006
c` est la rentree
Premiers retours sur le blog apres 3 mois de silence. Difficile d`en expliquer la raison a Thomas qui m`interroge. Pas envie. Chaque matin je me leve, vais au boulot et m`y engage, je continue comme le petit soldat mais au fond je crois que je suis triste. Mon cœur est lourd. Je suis toujours au bord des larmes et pense sans arret a Clara, toutes les heures de la journee. Depuis 1 an que je connais ces incertitudes et sèparations, je parviens toujours a me raisonner : le temps nous donnera raison, tout va s`arranger etc…. aujourd`hui je n`y arrive plus. Tout me fait peur : les pleurs et paroles ameres de Clara, les 6 a 7 semaines de separation entre chaque vacances, l`arrivèe du bebe 1 mois avant le jour de ses 9 ans – Nous nous sommes fortement disputes avec Thomas le jour ou Clara n`a pas pu prendre son avion de retour car son pere avait juste « oublie « de me donner le billet papier… Depuis lors je me sens blessee et je n`arrive pas a me rapprocher- et frequemment seule, j`ai le petit vèlo qui tourne dans la tete, inlassablement. Eh oui nous avons besoin tous deux de musique et de samba, de caipirinha et d`allegria. De moments passes ensemble sans le sentiment odieux de fatigue et de depart imminenent - Thomas s`use en voyages èprouvants. Les temps et lieux changent, il nous faut passer a autre chose et mettre de l`huile dans les rouages. Ça viendra.
c`est pour de vrai
Vendredi 8 septembre ( a Paris), il mesurait 3 mn et ètait age de 6 semaines. Le petit embryon Wavelet a l`air bien attachè et commence meme a perturber sacrement l`equilibre de sa maman. Nausèes sur nausèes, ce dèbut est un peu inconfortable surtout avec la repise d`un boulot.
Demain vendredi 15/09 premier rendez-vous avec le Docteur Navarro a Mexico. Thomas m`accompagne. Pour moi c`est un contact important, un suivi et une confiance a entretenir pendant 8 mois. De plus c`est un homme qui va devoir prendre connaissance de mon corps, de son èvolution et de mon intimitè. Pour Thomas, je ne sais pas encore ce que cela represente. Je crois qu`il ne realise pas bien ou attend pour se rejouir les 3 mois fatidiques – En attendant je m`offre moi-meme des fleurs !
Demain vendredi 15/09 premier rendez-vous avec le Docteur Navarro a Mexico. Thomas m`accompagne. Pour moi c`est un contact important, un suivi et une confiance a entretenir pendant 8 mois. De plus c`est un homme qui va devoir prendre connaissance de mon corps, de son èvolution et de mon intimitè. Pour Thomas, je ne sais pas encore ce que cela represente. Je crois qu`il ne realise pas bien ou attend pour se rejouir les 3 mois fatidiques – En attendant je m`offre moi-meme des fleurs !
8/29/2006
NEWS!!!
Marquise me surprend hier soir avec un petit mot glissé dans les bras d´un bébé-poupée taille mini (courtesy of Clara) posé sur des fleurs du beau bouquet qui trône sur la table. Le p´tit mot dit:
Mai aussi je t´aime chérie. Merci.
T -
"Il parait qu´ils naissent dans les fleurs!
Pour le printemps un petit Wavelet au féminin ou au masculin.
Je t´aime Amour
Nous voila unis pour la vie"
Mai aussi je t´aime chérie. Merci.
T -
8/28/2006
AMLO commence sa révolution
La ville de Mexico DF se débat depuis maintenant plus d´1 mois au milieu du gigantesque sit-in organisé par le candidat perdant a l´élection présidentielle: AMLO. Il faut dire qu´il est bien épaulé par sa "coalicion por el bien de todos" (sic! dans le genre démago, c´est quand même pas mal!) dans la préparation pour un bordel généralisé qui pourrait durer... 6 ans?
Les faits:
Les faits:
- processus electoral validé par la communauté internationale comme étant propre et libre de fraude
- le parti d´AMLO d´ailleurs fait une percée inédite au niveau des chambres, et sort grand vainqueur de ces élections
- AMLO perd de 0.5% face au candidat de centre droit, Felipe Calderon
- il se refuse a accepter le verdict des urnes, mobilise ses supporters et joue sur la corde démago-revolutionario-chantagiste du "si je ne suis pas déclaré vainqueur, on va voir ce qu´on va voir"
Une fois de plus je suis cette actualité aussi au-travers du regard du Monde et de Libé, qui penchent très nettement en faveur d´AMLO (le garant de la souveraineté du peuple, Saint Michel Archange terrassant le dragon de la droite réactionnaire?). Aucune analyse des faits, aucun travail d´information poussé. On se contente de donner la parole a celui qui se rapproche le plus de son idéologie, sans offrir de droit de réponse aux autres et analyser les faits froidement. Plus ça change, plus c´est la même chose...
T -
8/12/2006
Notre quartier de la Condesa
7/06/2006
Mariage le 5 juillet (prologue)
Ça y est, c´est fait... le mercredi 5 juillet, devant Madame la Mairesse du 1er arrondissement, Anne Sénéchal et Thomas Wavelet se sont dit "oui". L´affaire est dans le sac, rondement menée, en présence de la famille (presque) au complet et de quelques amis chers...
Temps splendide, comme l´atteste la photo sur fond de Louvre régalien. Une fois les papiers signés (la République est assez pompeuse et soucieuse du décorum!), nous sommes allés boire un petit blanc au troquet du coin. C´en été presque popu cette petite sauterie, tout le monde était de fort bonne humeur, comme il se devait.
Le soir, sauterie a Montmartre Stéphanie et Alex qui nous avaient gentiment offert d´utiliser leur apart´. Demi finale (France-Portugual) de coupe du monde de foot oblige, la sauterie vira entre 21h et 23h30 a la séance foot... Bref, dans le genre fête de mariage kitsch-prolo, on est champions du monde!!! hehehe Tout de même ambiance sympa, Marquisette se lâche complètement sur des rocks endiablés, pendant que moi je m´étaignais au fur et à mesure où le jet-lag et les émotions prenaient le dessus. Même les "warm-ups" n´aidaient pas a rester "synchrone" avec mon épouse. Bon, on passe sur les références Bronzés 3.
Voila. Plus de reflexions sur le sujet dans qques jours.
T -
7/05/2006
6/04/2006
secrets d´alcôve (bis)
On se marie. C´est décidé.
Juillet 2006. Paris.
Les bagues (pas de blagues!) sont achetées. Marquise s´occupe des papiers et autres démarches.
Je suis heureux, serein, confiant. J´ai de la chance d´avoir trouvé cette perle de Marquisette. Je t´aime chérie
T -
Juillet 2006. Paris.
Les bagues (pas de blagues!) sont achetées. Marquise s´occupe des papiers et autres démarches.
Je suis heureux, serein, confiant. J´ai de la chance d´avoir trouvé cette perle de Marquisette. Je t´aime chérie
T -
6/01/2006
Coup de gueule
Quand Chirac se la joue ancien régime et amnistie son pote Guy Drut qui avait été condamné par la justice pour faux-emploi, ça me met hors de moi.
Les dirigeants ne sauraient se prévaloir d´autres codes que ceux qui s´applique à la république et tous ses citoyens. Chirac se comprte une fois de plus comme le chef omnipotent d´une république bananière.
Vivement la fin de ce quiquénat en pleine déliquescence, vivement que les juges puissent s´accrocher aux basques de ce triste bouffon pour qu´il réponde de ses magouilles et autres libertés prises avec la loi.
T -
Les dirigeants ne sauraient se prévaloir d´autres codes que ceux qui s´applique à la république et tous ses citoyens. Chirac se comprte une fois de plus comme le chef omnipotent d´une république bananière.
Vivement la fin de ce quiquénat en pleine déliquescence, vivement que les juges puissent s´accrocher aux basques de ce triste bouffon pour qu´il réponde de ses magouilles et autres libertés prises avec la loi.
T -
5/23/2006
The Door
Alors que Marquise et moi dansions un rock hier soir pour la sauterie organisée chez nous pour l´anniversaire de Julie, une chose étrange et d´une force incroyable s´est produite. Nous nous regardions dans les yeux et tout à coup nous avons en même temps vécu ce que je pourrais décrire comme un flash-back sur un passé non-vécu: nous nous sommes "vus" dansant ce même rock 20 ans en arrière. Pas une impression ou un vague sentiment de communion dans l´instant, mais bien une image nette et preçise avec minois (beaucoup) plus jeunes et frais...
Comme si nous avions vécus réllement ce moment dans une vie parallèle, tout aussi réelle que ce que nous vivons aujourd´hui. La fameuse "porte" de Morrisson?
T -
Comme si nous avions vécus réllement ce moment dans une vie parallèle, tout aussi réelle que ce que nous vivons aujourd´hui. La fameuse "porte" de Morrisson?
T -
5/22/2006
Les nuls de l´Eurovison
Ça y est, c´est officiel, les grotesques finlandais de Lordi remportent l´Eurovision. On a du mal a s´endormir samedi soir tellement on est excités à l´annonce de cette nouvelle!
Entre chansons suaves suranées et blondes affriolantes, les monstres suomis bouleversent (retenons notre souffle!) les habitudes et le palmarès. Deux questions semblent alors essentielles:
- qui regarde le concours de l´Eurovision? Parce que c´est pas les mamies bourguignones, maltaises ou suédoises qui ont voté pour Lordi, où alors faut qu´elles arrêtent de fumer du shit
- quand la candidate française arrivent en queue de peloton, qú´est-ce que ça dit sur la niaiserie dénuée de tout talent de la chansonette franchouille? (même les mamies létones, portuguaises et bavaroises se font chier, c´est dire!)
Merci Corneille, merci Cali, merci cette loi abusrde qui oblige a passer >50% de chanson française a la radio, évidemment ça représente une vraie aubaine pour le développement et le rayonenment de la "culture française". Y´a des jours où on se passerait d´exceptions...
T -
secrets d´alcôve
Après 20 jours d´absence (et d´abstinence), Madame revient au bercail - et le premier coup d´oeil du proriétaire se porte, bien sûr, sur le lit. Hum, on est samedi soir, et le lit est parfaitement fait, couvre lit et coussins en sus – tel que le fait la bonne qui vient tous les vendredis / donc un jour avant ! Et illico de demander à Thomas : “ tu n´as pas dormi ici cette nuit ?”. Et c´est un peu rougissant qu´il se lance dans des explications, tu comprends ma chérie j´ai demandé à la bonne de venir aujourd´hui pour tout arranger pour ton retour et blablabla. Non pas que j´ai été envahie par la doute, mais je pense qu´il ne faut pas négliger ce genre de remarques pour avoir bien en tête que notre vie de célibataire est derrière nous.
A-
A-
5/17/2006
Point de vue et images
Fût-ce t-il codé, et à mon insu, ce message louait plus l'équilibre trouvé par un couple - quel qu'il soit ( j'entends l'équilibre). Et c'est vrai que je me suis laissée enthousiasmer par ce modèle de vie où chacun parvient à ménager vie professionnelle, intérêts perso vie familiale et sociale. Avec une forme de sérennité et de jouissance qui n'est pas simplement une"non ambition".
Je pense mon amour que ton acuité à ce sujet a atteint son pic actuellement, vu que tu ne fais que bosser. Et que ce rythme n'est pas satisfaisant, quand bien même tu serais encore célibataire ( petite piqûre au passage). Tu le sais, nous sommes tous deux assez exigeants et idéalistes, pensant encore un peu qu'il faut trouver notre "style" de vie et le réussir parfaitement etc.... Laissons faire chéri. Laissons-nous faire. j'ai confiance. Je t'aime.
A-
Je pense mon amour que ton acuité à ce sujet a atteint son pic actuellement, vu que tu ne fais que bosser. Et que ce rythme n'est pas satisfaisant, quand bien même tu serais encore célibataire ( petite piqûre au passage). Tu le sais, nous sommes tous deux assez exigeants et idéalistes, pensant encore un peu qu'il faut trouver notre "style" de vie et le réussir parfaitement etc.... Laissons faire chéri. Laissons-nous faire. j'ai confiance. Je t'aime.
A-
Je partage ton point de vue...
Marquise chérie
j´ai bien compris ton message (à peine codé) quand tu m´as parlé de ces amis qui ont une vie pls tranquille, moins hectique, plus centrée sur le couple et la vie de famille en quelque sorte. C´est important pour moi chérie que tu saches que j´aspire moi aussi à cette forme de vie équilibrée avec toi.
Je me creuse les méninges et reviens toujours à deux questions centrales que nous n´avons pas encore suffisament abordées: sommes-nous prêts pour le "downsizing" du train de vie qui va avec cette décision?, et surtout, que faire?
Je ne sais malheureusement pas faire grand chose d´autre que de vendre ma force de travail au sein de l´entreprise. Et nous avons besoin de revenus qui nous assurent le quotidien des factures courantes, quelques jours de vacances ici et là et mettre de l´argent de côté pour les vieux jours... Je n´arrive pas à résoudre l´équation mon amour...
T -
j´ai bien compris ton message (à peine codé) quand tu m´as parlé de ces amis qui ont une vie pls tranquille, moins hectique, plus centrée sur le couple et la vie de famille en quelque sorte. C´est important pour moi chérie que tu saches que j´aspire moi aussi à cette forme de vie équilibrée avec toi.
Je me creuse les méninges et reviens toujours à deux questions centrales que nous n´avons pas encore suffisament abordées: sommes-nous prêts pour le "downsizing" du train de vie qui va avec cette décision?, et surtout, que faire?
Je ne sais malheureusement pas faire grand chose d´autre que de vendre ma force de travail au sein de l´entreprise. Et nous avons besoin de revenus qui nous assurent le quotidien des factures courantes, quelques jours de vacances ici et là et mettre de l´argent de côté pour les vieux jours... Je n´arrive pas à résoudre l´équation mon amour...
T -
5/15/2006
Sampa s´embrase
L´histoire est banalement triste: les maffieux du Primeiro Comando da Capital tirent sur tout ce qui bouge dans Sampa et qui porte un uniforme. On transferre 800 des leurs dans des prisons d´ oú ils auront plus de mal à s´échapper, alors les gangsters abattent plus de 70 personnes (décompte non final). Les structures de l´étât se révèlent incapables d´endiguer cette explosion de violence. Les gens rentrent tôt du travail, le malaise s´installe. Le vers est dans le fruit. Et je me souviens de cette phrase d´un ami brésilien que me disait, après que tout sa famille se soit fait dévaliser dans leur maison sur la côte avec des flingues pointés sur leurs tête: il n´y a pas de liberté sans sentiment de sécurite physique...
T -
T -
5/14/2006
St Barts, moddafucka!
Respect for my main man a.k.a. brotha Matt who at last has found in sistah Kate the better half of his life. And he proposed, romantic spot in the mediterranean and all that jazz, and she must have said yes, cuz´they be calling the other night saying they gonna have a wedding with all bells and whistles in St Barts some 12 months or so from now. I mean, talk about planning the looove! So, we gonna be there, we´re "core", you see? We gonna show up and have a sweaty good time time, cuz core I fucking feel alright!
Love to both of you. Always.
T -
Love to both of you. Always.
T -
5/12/2006
Free, free at last!
That´s it, the whole deal is closed, Marquise is now mademoiselle all over again... (swapping a W for another, but that´s altogether a very different story!). The fight ain´t over for her, for us, for Clara, but that´ll be sung to the tune of "we shall overcome". I confess to having a weight lifted off my shoulders: that woman is mine, all mine now in every single way.
T -
T -
5/09/2006
Pile ou face
C´était a priori pas gagné de se faire un pur we d´amoureux - avant 3 semaines de séparation, important de ne pas le rater ! Pour commencer Thomas se prend un vol de nuit de 5 heures, donc pas couché pas dormi et levé aux aurores pour débarquer à la maison aux alentours de 6 heures du mat. Glissé sous les draps, premiers câlins ensommeillés et délicieux – silencieux. Encore plus fort que les mots, une déclaration simple et directe. On se retrouve c´est sûr illico après 4 jours d´absence. Et tous deux de concert de s´extasier sur la compatiilté de nos corps et de nos esprits. Ca nous épate encore. Et j´espère pour longtemps-
Comme une mélodie, une chanson qui s´inscrit dans la tête, ce fut le refrain de tout le we. Bisous bisous câlins caresses encore, devant derrière dessus dessous et puis Club de samba fous rires et churrasco dans le pur jus brésilien.
A-
4/25/2006
Bigote
Thomas avec une épaisse moustache de 10 jours… c´est un drôle de cocktail de références : acteur porno des années 70 (dixit un collègue), mexicano matcho ( hai pepito), Starsky et Hutch sans pat d´eph ni chevelure tombante… Un chapeau circonflexe dru et à peine piquant au-dessus de ses lèvres pulpeuses. Pourquoi pas ? Personnellement je suis ok pour le changement et le côté fun, mais disons qu´il ne faut pas que la petite blague dure plus de 2/3 mois !
A-
A-
crash
L´Audi de Thomas, genre aspirateur à nanas, est un petit turbo. Une simple caresse et c´est parti ! Ca décoiffe. La frime quoi ! A la ville passe encore mais à la campagne c´est une autre affaire. Surtout quand la jolie caisse se retrouve le cul dans un fossé suite à une manoeuvre ratée. Et qu´il faut attendre les secours d´un tracteur pour se sortir de là. Car le coin n´était pas du tout paumé... rien à voir avec la Paris-Dakar. Disons-le c´était dans une fazenda ( hôtel-ferme local) où le but est de retrouver la vertu des ballades à pied...
A-
A-
4/03/2006
America do Sul trotteur
C´est clair j´ai vu du du pays et parcouru des kilomètres depuis que je te connais chéri ! Et tu organises tout de main de maître : escales, escapades, ramasssage de la senhora à l´aéoroport, surprises, gastronomie, vue sur la mer et le 7e ciel... je ne m´en plains que par intermittence, car bon j´ai des remontées parfois, ces images de bobonne qui suit son homme et attend gentiment dans la chambre d´hôtel. Je ne doute pas qu´une fois de plus tes amis se profileront mes amis, que nous allons boire et danser sur la terre de Colombie et l´aimer et s´aimer encore davantage. Il n´empêche, et la femme parlera toujours ainsi, il serait bien un jour de construire notre base - celle où l´on vient et revient.
4/02/2006
Mexico, SP, Rio, Bogotà, Cartagena...
Plus ça change, plus c´est la même chose! On se retrouve a SP, on file passer 5 jours a Rio, on revient 5 jours à la maison, on repart en Colombie (Bogota et w/e prévu à Cartagena das Indias). Bref c´est le mouvement quasi perpétuel, les valises à faire et refaire, les hôtels où on sait dénicher les bonnes piaules, les dîners au restaurant qui se succèdent. On s´en plaindrait presque si on n´avait pas la chance de pouvoir voir des amis et découvrir quand même des coins de l´Amérique super intéressants...
Je t´attends avec impatience ici a Bogotà Marquise de ma vie.
Je t´attends avec impatience ici a Bogotà Marquise de ma vie.
3/30/2006
match point
peu à rajouter aux propos de Thomas. Enfin un film d´une densité telle qu´on se plaît à le regarder puis à ergoter dessus encore et encore-
3 commentaires supplémentaires =
- Un propos qui se fonde sur l´action et non l´introspection / comme nous y on habitués les boring films d´auteurs francais- et qui par là, est beaucoup plus riche qu´un simple discours moral ou psychologique
- Un film qui met en exergue la violence masculine pour assurer la survie de sa condition acquise
- l´humour et les jeux de faux semblants d´un woody Allen habile - Au spectateur aussi il lance la balle, lui donnant en pâture des indices qu´il laisse choir malgré leur importance : la collègue de Nola( Scarlett Johnson) a entendu la conversation téléphonique du couple fixant le RDV à l´appartement / une vieille tuée à la carabine ( cette arme n´est pas si fréquente à Londres).
A -
3 commentaires supplémentaires =
- Un propos qui se fonde sur l´action et non l´introspection / comme nous y on habitués les boring films d´auteurs francais- et qui par là, est beaucoup plus riche qu´un simple discours moral ou psychologique
- Un film qui met en exergue la violence masculine pour assurer la survie de sa condition acquise
- l´humour et les jeux de faux semblants d´un woody Allen habile - Au spectateur aussi il lance la balle, lui donnant en pâture des indices qu´il laisse choir malgré leur importance : la collègue de Nola( Scarlett Johnson) a entendu la conversation téléphonique du couple fixant le RDV à l´appartement / une vieille tuée à la carabine ( cette arme n´est pas si fréquente à Londres).
A -
Match Point
Tres bon film de Woody Allen, qui nous a enchanté et procuré une conversationj bien riche en guise de débriefing. Voilà ce que dit le site internet:
“Match Point” is a drama about ambition and obsession, the seduction of wealth, and the often discordant relationship between love and sexual passion. Perhaps most importantly, however, the story reveals the huge part luck plays in the events of our lives, refuting the comforting misconception that more of life is under our control than really is.
Allen filme a Londres (sic!), et choisit donc la "vieille Europe" pour parler:
- d´ambition (on pense à Balzac)
- du sang comme prix à payer pour ceux qui tentent de s´opposer a celle-ci (on pense à Shakespeare)
- des consciences: de la quasi-absence de conscience sociale des grands bourgeois anglais papillonant entre cocktails et spectacle a l´opéra; du poids du meurtre sur la conscience
- du désir charnel et des plaisirs sociaux
- de l´absence de méritocratie dans cette vieille société anglaise si policée
- de la chance comme vecteur fondamental dans le déroulement de la vie, tout autant que l´effort et le travail...
Tout ça en 2 heures rondement menées, un scripte bien ficelé et tonique, bref WA nous délecte en nous racontant une vraie histoire, universelle et contemporaine. Les acteurs sont justes dans le campement des personnages. Une bien belle réussite, et on dit "merci Woody!"
T -
“Match Point” is a drama about ambition and obsession, the seduction of wealth, and the often discordant relationship between love and sexual passion. Perhaps most importantly, however, the story reveals the huge part luck plays in the events of our lives, refuting the comforting misconception that more of life is under our control than really is.
Allen filme a Londres (sic!), et choisit donc la "vieille Europe" pour parler:
- d´ambition (on pense à Balzac)
- du sang comme prix à payer pour ceux qui tentent de s´opposer a celle-ci (on pense à Shakespeare)
- des consciences: de la quasi-absence de conscience sociale des grands bourgeois anglais papillonant entre cocktails et spectacle a l´opéra; du poids du meurtre sur la conscience
- du désir charnel et des plaisirs sociaux
- de l´absence de méritocratie dans cette vieille société anglaise si policée
- de la chance comme vecteur fondamental dans le déroulement de la vie, tout autant que l´effort et le travail...
Tout ça en 2 heures rondement menées, un scripte bien ficelé et tonique, bref WA nous délecte en nous racontant une vraie histoire, universelle et contemporaine. Les acteurs sont justes dans le campement des personnages. Une bien belle réussite, et on dit "merci Woody!"
T -
3/28/2006
ch-, ch-, ch-, ch-, changes!
Nous revenons de 5 jours passés à Rio, sous une chaleur étouffante, contents d´avoir revu cette ville que Marquise ne connaissait que mal. Avons séjourné le week-end dans la très charmante maison d´hôte de Denise Milfont a Santa Teresa (merci Xophe pour l´adresse!). Le quartier nous a emballé, Marquisette y retrouvait des airs de son Montmartre chéri qu´elle me disait tous les jours!
Courte pause à Sampa, avant de décoller pour Bogotà, histoire que Marquise n´ait pas de regrets en choisissant de s´installer a Mexico... Plus que qques mois à passer au Brésil donc, et ce sera, c´est presque certain, de nouveau le Méxique après les grandes vacances.
Ch-, ch-, ch-, ch-, ch-, changes! comme chantait David B.
T -
Courte pause à Sampa, avant de décoller pour Bogotà, histoire que Marquise n´ait pas de regrets en choisissant de s´installer a Mexico... Plus que qques mois à passer au Brésil donc, et ce sera, c´est presque certain, de nouveau le Méxique après les grandes vacances.
Ch-, ch-, ch-, ch-, ch-, changes! comme chantait David B.
T -
3/18/2006
je m'essoufle
Deux semaines de séparation. Si Thomas se languit, pour ma part je m'essoufle, et je perds les pédales. Cette année de transition, aussi judicieuse soit-elle à considérer un prochain déménagement à Mexico ou ailleurs, est pénible et usante... Qui n'a pas de maison perd sa raison. Je ne sais plus où j'habite, ce que je fais et pour combien de temps... Toujours à me trimballer avec un sac, squatter les cafés Internet, demander l'hospitalité, et négocier à tout bout de champs. J'en ai par-dessus la tête. Ce livre que je fais pour Susan Tabak c'est un miracle si j'arrive à le finir sans me tromper dans les fichiers et les infos. Ces discussions fleuve sur l'avenir de Clara, son sentiment, les décisions à prendre, les paroles à dire... je n'en peux plus, je me lève avec et me couche encore avec ces mots/maux qui m'empêchent de dormir et surtout m'empêchent de trouver la paix l'énergie les facultés de faire autre chose. Un peu d'air ! Je voudrais pouvoir, parfois, oublier cette tristesse profonde que je sens dans mon coeur et que j'entends dans les larmes de Clara.
A -
A -
3/17/2006
American vertgo (suite)
On repart sur le thème BHL... Il passe a l´émission d´Ardisson, séduisant parfois, agaçant souvent drappé qu´il est dans sa superbe, horripilanmt toujours quand il donne des leçons à tout venant. Peu importe ce qu´il se soit dit dans cette émission, je rassure tout le monde: rien d´intéressant ne peux être dit lors d´une émission d´Ardisson (sauf quand il s´agit de Rocco Siffredi qui vient présenter son "autobiographie", mais ça c´est un autre sujet!)
J´ai trouvé un excellent article , fruit de la discussion entre notre BHL national et Francis Fukuyama, ce philosophe américain dont une des thèses (simplifiée) se résume au fait qu´il pense que la victoire de la démocratie est inéluctable, que les sursauts que nous vivons sur la scène internationale ne sont que les derniers barrouds de la bête. Je vais acheter le livre de ce mec lors de mon prochain voyage aux EU.
Quand BHL se targue de retracer les pas de Tocqueville, on ne sait si se réjouir de son audace ou pleurer sur sa superbe outrecuidance. Il franchit de toute facon un Rubicon, et par là même se place sous le jugement de notre SPQR (en quelque sorte!). J´ai pour ma part trouvé que l´article était fascinant en ce qu´il exemplifie deux formes de pensée. Alors il serait hâtif et peut-être erroné d´y voir le chasme entre une pensée "universaliste" , héritée des Montaigne et Voltaire (donc française), et une pensée plus didactique et appliquée, donc anglo-saxonne. Non, j´y vois plus la separation entre une approche moraliste, pamphlétiste d´un homme qui se heurte finalement au mur de son ambition. 9 mois et 25000 kms à travers un continent si vaste et si complexe que les EU peuvent-ils être suffisants pour raconter, décrire l´Amérique? Je ne le crois pas. Prendre des raccourcis, choisir des "thèmes" et gloser sur des "pierres angulaires" des Etats-Unis c´est évidemment se tromper. L´ Amérique est en devenir, en mutation, Fukuyama a raison quand il dit de la frontière à l´Ouest n´est pas encore conquise. Ça, BHL ne l´a pas "pensé", et surtout pas vu.
Je ne peux m´empêcher de sourire en lisant cette pique du Yankee: "But if global leadership were left up to Europeans, they would either acquiesce in whatever exists, or they would make cynical deals to preserve their own narrow interests while talking about universal rights and justice". C´est malheureusement vrai.
T -
J´ai trouvé un excellent article , fruit de la discussion entre notre BHL national et Francis Fukuyama, ce philosophe américain dont une des thèses (simplifiée) se résume au fait qu´il pense que la victoire de la démocratie est inéluctable, que les sursauts que nous vivons sur la scène internationale ne sont que les derniers barrouds de la bête. Je vais acheter le livre de ce mec lors de mon prochain voyage aux EU.
Quand BHL se targue de retracer les pas de Tocqueville, on ne sait si se réjouir de son audace ou pleurer sur sa superbe outrecuidance. Il franchit de toute facon un Rubicon, et par là même se place sous le jugement de notre SPQR (en quelque sorte!). J´ai pour ma part trouvé que l´article était fascinant en ce qu´il exemplifie deux formes de pensée. Alors il serait hâtif et peut-être erroné d´y voir le chasme entre une pensée "universaliste" , héritée des Montaigne et Voltaire (donc française), et une pensée plus didactique et appliquée, donc anglo-saxonne. Non, j´y vois plus la separation entre une approche moraliste, pamphlétiste d´un homme qui se heurte finalement au mur de son ambition. 9 mois et 25000 kms à travers un continent si vaste et si complexe que les EU peuvent-ils être suffisants pour raconter, décrire l´Amérique? Je ne le crois pas. Prendre des raccourcis, choisir des "thèmes" et gloser sur des "pierres angulaires" des Etats-Unis c´est évidemment se tromper. L´ Amérique est en devenir, en mutation, Fukuyama a raison quand il dit de la frontière à l´Ouest n´est pas encore conquise. Ça, BHL ne l´a pas "pensé", et surtout pas vu.
Je ne peux m´empêcher de sourire en lisant cette pique du Yankee: "But if global leadership were left up to Europeans, they would either acquiesce in whatever exists, or they would make cynical deals to preserve their own narrow interests while talking about universal rights and justice". C´est malheureusement vrai.
T -
3/16/2006
Je me languis
de Marquise. Nous nous parlons quotidiennement au téléphone, entre 2 réunions pour moi ou une fois la journée terminée, après le coucher de Clara pour elle. On arrive pas trop mal à gérer cette situation, même si elle reste frustrante pour tous les deux.
Entre la soirée téloche et quelques pages de Faulkner (qui m´oblige à fouiller ma mémoire pour comprendre cette langue des noirs américains au début du 19eme), j´attends le retour de ma belle. Qui elle se gèle a Paris. Next stop: Rio!
T -
Entre la soirée téloche et quelques pages de Faulkner (qui m´oblige à fouiller ma mémoire pour comprendre cette langue des noirs américains au début du 19eme), j´attends le retour de ma belle. Qui elle se gèle a Paris. Next stop: Rio!
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3/12/2006
Quand le coq plume la rose
Score sans appel du match France-Angleterre de ce jour joué au SDF. Pas parfait, même si le score l´est!, et le bonheur de vivre la raclée infligée aux angliches. Ça fait du bien, ça met du baume au coeur après les saisons de disette du XV au coq vécues quand je vivais en Angleterre et que les autochtones arrosaient en glosant a qui mieux mieux.
Alors, derechef, je file sur un chat de la BBC et je spote qques commentaires sobres, leur souhaitant de retrouver un rugby qu´ils ont perdu. Hehehe. Je me marre!
T -
Alors, derechef, je file sur un chat de la BBC et je spote qques commentaires sobres, leur souhaitant de retrouver un rugby qu´ils ont perdu. Hehehe. Je me marre!
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3/11/2006
Caramba (suite)
Marquise chérie,
Tu parles bien de ce voyage qui fut un peu initiatique pour toi et un retour parfois hésitant pour moi dans ces terres brûlées et pourtant fécondes du pays en forme de corne d´abondance... Quels contrastes saisissants! Comment trouver l´équilibre entre la majesté puissante de cette terre et de l´histoire, que d´histoire et d´histoires!, de ce peuple. Riche, pauvre, attachant, dur, affectueux et complexe tout en étant hostile et trop tristement simpliste parfois. Tout semble plus dur là-bas, si ce n´était pour la somptuosité du terroir et l´âme généreuse et noble de ces amis dont tu parles si bien. Et qui nous acceuilli de manière si attachante. "La vida es como la espuma, entonces tenemos que ser como el oceano." (La vie est comme l´écume, nous devons donc être comme l´océan. Dans "Y tu máma tambien")
Je garde dans mon coffre-fort des petits trésors à nous le souvenir de ce guide au look quasi-christique, l´histoire de sa grand-mère zapotèque qui lui parlait des baleines et de son totem. La beauté époustouflante du site de Monte Alban et des drinks dans les palaces coloniaux a Oaxaca. Cette chambre si belle a Oaxaca et nos éclats de rire dans le resto. "Rommel, un moli! siouplait". Aah, la bonne motte de Pie de la Cuesta! La tendresse de te voir manger, et aimer!, ces sauterelles-chipulines grillées et ta manière de vider les petits verres de sangrita en te régalant. Le chile est vie au Méxique, ça tu le sais maintenant. Ta disponibilité et gentillesse avec Fernande et David. Ta patience avec Corinne et l´autre David. L´exubérance outrancière du baroque méxicain, les masques du musée anthropologique de Mexico, masques grotesques et illisibles, issus d´un monde qui n´est plus et pourtant nous entoura toujours. Teotihucan, les 2 pyramides à la file qui coupent les pattes, avec tous ces enfants autour de nous. Ces petits mestizos pas très beaux et assez bruyants. La forêt de cactus en tuyaux d´orgue. La tempête de terre-sable, celle qui annonce l´appauvrissement d´un sol déjà misérable. Le mole au chocolat. Hmmm.
C´est tellement rassurant pour moi que tu ai aimé ce pays chérie. Quant à un déménagment/retour a Tenochtitlan, tu sais que la décision est tienne mon amour.
Au fait, je me suis permis qques changements dans l´ortographe (déroutante) de certains noms Azteco-Zapotèques...
T -
Tu parles bien de ce voyage qui fut un peu initiatique pour toi et un retour parfois hésitant pour moi dans ces terres brûlées et pourtant fécondes du pays en forme de corne d´abondance... Quels contrastes saisissants! Comment trouver l´équilibre entre la majesté puissante de cette terre et de l´histoire, que d´histoire et d´histoires!, de ce peuple. Riche, pauvre, attachant, dur, affectueux et complexe tout en étant hostile et trop tristement simpliste parfois. Tout semble plus dur là-bas, si ce n´était pour la somptuosité du terroir et l´âme généreuse et noble de ces amis dont tu parles si bien. Et qui nous acceuilli de manière si attachante. "La vida es como la espuma, entonces tenemos que ser como el oceano." (La vie est comme l´écume, nous devons donc être comme l´océan. Dans "Y tu máma tambien")
Je garde dans mon coffre-fort des petits trésors à nous le souvenir de ce guide au look quasi-christique, l´histoire de sa grand-mère zapotèque qui lui parlait des baleines et de son totem. La beauté époustouflante du site de Monte Alban et des drinks dans les palaces coloniaux a Oaxaca. Cette chambre si belle a Oaxaca et nos éclats de rire dans le resto. "Rommel, un moli! siouplait". Aah, la bonne motte de Pie de la Cuesta! La tendresse de te voir manger, et aimer!, ces sauterelles-chipulines grillées et ta manière de vider les petits verres de sangrita en te régalant. Le chile est vie au Méxique, ça tu le sais maintenant. Ta disponibilité et gentillesse avec Fernande et David. Ta patience avec Corinne et l´autre David. L´exubérance outrancière du baroque méxicain, les masques du musée anthropologique de Mexico, masques grotesques et illisibles, issus d´un monde qui n´est plus et pourtant nous entoura toujours. Teotihucan, les 2 pyramides à la file qui coupent les pattes, avec tous ces enfants autour de nous. Ces petits mestizos pas très beaux et assez bruyants. La forêt de cactus en tuyaux d´orgue. La tempête de terre-sable, celle qui annonce l´appauvrissement d´un sol déjà misérable. Le mole au chocolat. Hmmm.
C´est tellement rassurant pour moi que tu ai aimé ce pays chérie. Quant à un déménagment/retour a Tenochtitlan, tu sais que la décision est tienne mon amour.
Au fait, je me suis permis qques changements dans l´ortographe (déroutante) de certains noms Azteco-Zapotèques...
T -
3/10/2006
Caramba
12 jours au Mexique, en terre arride, balayée par la poussière, luttant sous le soleil, hérissée de cactus et de fierté. Tout son secret dans le nopal, privé de ses piquants c'est un plat onctueux dont on raffole, tout autant que l'avocat en guacamole, les sauterelles fumées au feu de bois, et le rouge piquant de la sauce, de la colère et de la passion.
La route jusqu'à Oaxaca, Thomas qui chante la "camisa negra" en chorus avec Juanes/ crooner colombien/, Monte Alban, les pyramides du soleil et de la lune à la verticale d'une ville majestueuse et monumentale. Teotihuacan, Michoacan... des sons des couleurs des saveurs. On marche pas à pas, tequila après tequila, sur ces traces et empreintes . Ca résonne. Les amis de Thomas si bienveillants, les restaurants où on le salue encore après deux années d'éclipse, le halo étoilé de la vierge de Guadalupe et les grimaces macabres de la Catrina. Thomas a su me mener sans m'escorter, me gâter sans m'abîmer me montrer sans m'imposer, ce pays où il a vécu aimé cherché ...Voyages de noces n'avais-je de cesse de répéter. Mexico City sera probablement la ville où nous nous installerons en justes noces.
A -
La route jusqu'à Oaxaca, Thomas qui chante la "camisa negra" en chorus avec Juanes/ crooner colombien/, Monte Alban, les pyramides du soleil et de la lune à la verticale d'une ville majestueuse et monumentale. Teotihuacan, Michoacan... des sons des couleurs des saveurs. On marche pas à pas, tequila après tequila, sur ces traces et empreintes . Ca résonne. Les amis de Thomas si bienveillants, les restaurants où on le salue encore après deux années d'éclipse, le halo étoilé de la vierge de Guadalupe et les grimaces macabres de la Catrina. Thomas a su me mener sans m'escorter, me gâter sans m'abîmer me montrer sans m'imposer, ce pays où il a vécu aimé cherché ...Voyages de noces n'avais-je de cesse de répéter. Mexico City sera probablement la ville où nous nous installerons en justes noces.
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love letter
Le 19 mars approche. 3 jours avant le printemps, l'année dernière exactement, j'ai rencontré Thomas Wavelet, l'énigme appelée Tomaggio, à un dîner parisien chez Matt. Chronique d'un amour annoncé ? Et pourtant beaucoup nous séparait à commencer par la distance. Moi-même à l'époque j'étais loin d'imaginer que ma vie allait ainsi basculer profondèment. Sans parler de "Prince Charmant", celui que je cherchais dans toutes mes pérégrinations parisiennes, le voilà, au détour d'un vol entre Stockholm et Sao Paulo... un pas charmant du tout à vrai dire, qui ne m'a même pas saluée, et a commencé tout juste à se dérider lorsque la discussion bien arrosée est venue sur Casimir. L'Île aux enfants. Encore un conte pour grands rêveurs. Aujourd'hui nous partageons nos rêves nos corps beaucoup de rires de bouteilles de découvertes. Nos vies, nos peurs, notre sommeil. Des conversations téléphoniques (car nous sommes encore trop souvent séparés).La vie heureuse et laborieuse celle que nous nous choisissons. Et si c'était à refaire, chaque jour je dis OUI.
A-
A-
3/07/2006
Marquise me gâte...
Texto reçu de ma chérie avant-hier alors qu´elle allait décoller pour Paris: "Je t´aime amour tu es l´homme que je cherchais et tu me rends heureuse".
Some guys have all the luck...
T -
Some guys have all the luck...
T -
2/20/2006
devinette
Quelle différence entre se lever pour préparer café/tartines à son mec et se charger, à sa demande, de ses emplettes perso à la pharmacie ? Le premier, on s´en acquitte avec plaisir / et dévotion / quasi chaque matin. Le deuxième, on s´y refuse tout de go en haussant le ton. La différence tient à un petit détail, de ces rouages entre les personnes qu´on oublie fréquemment de huiler – demander un service, en imposant le jour et le lieu de la commission - c´est priver de toute liberté vis-à-vis de cet acte. C´est aussi me renvoyer cash à ma situation de femme pour le moins oisive. J´ai refusé, j´ai regretté mais je n´ai pas fait marche arrière. Moi qui coule pourtant des jours si doux et tranquilles à Sao Paulo.
A-
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score
Et là je ne me prive pas d´un exercice de style à la Georges Perec* : “ je me souviens des dimanches à Sao Paulo, soirées pizza-téle. Je me souviens de Thomas allongé sur son lit king size déclarant fièrement, et très sérieusement, devant son unique auditoire son score de bowling. Je me souviens surtout de nos fous rires”.
A-
* Citation de l´auteurCes “ je me souviens” sont des petits morceaux de quotidiens, des choses que, telle ou telle année, tous les gens d´un même âge ont vies, vécues, partagées, et qui ensuite ont disparu, ont éte oubliées ; elles ne méritaient pas de faire partie de l´Histoire (...). Il arrive pourtant qu´elles reviennent (…) intactes et minuscules : c´était une chose qu´on avait apprise à l´école, un champion, un chanteur ou une starlette qui percait (…).
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* Citation de l´auteurCes “ je me souviens” sont des petits morceaux de quotidiens, des choses que, telle ou telle année, tous les gens d´un même âge ont vies, vécues, partagées, et qui ensuite ont disparu, ont éte oubliées ; elles ne méritaient pas de faire partie de l´Histoire (...). Il arrive pourtant qu´elles reviennent (…) intactes et minuscules : c´était une chose qu´on avait apprise à l´école, un champion, un chanteur ou une starlette qui percait (…).
Le beauf de la semaine
C´est moi!
Hier soir en discutant avec Marquise de tout et de rien, la onversation part sur les sports et activités qu´il serait bon de pratiquer dans l´enfance, y compris le bowling (allez comprendre). Je m´empare du sujet et ne le lâche plus, demandant à Anne quel était son score moyen au bowling (sic.), puis discoursant 3 minutes sur les différences entre un score <70,>
T -
Hier soir en discutant avec Marquise de tout et de rien, la onversation part sur les sports et activités qu´il serait bon de pratiquer dans l´enfance, y compris le bowling (allez comprendre). Je m´empare du sujet et ne le lâche plus, demandant à Anne quel était son score moyen au bowling (sic.), puis discoursant 3 minutes sur les différences entre un score <70,>
T -
2/14/2006
Viva Mexico!
Les préparatifs sont quasiment bouclés, les hôtels réservés et les visites programmées. Dans une semaine Marquise atterrira en terre aztèque et olmèque. Avec au programme le triangle d´or en quelque sorte puisque nous irons à Mexico-Tenochtitlan (avec bien sûr le zocalo, le museo de antropologia et Teotihuacan en tant qu´incontournables), puis Puebla, Oaxaca (zocalo, Monte Alban etc.), une boucle a Tepoztlan et retour a Mexico City. On aura des souvernirs plein la tête...
T -
T -
2/12/2006
La femme Rohmer
rencontrée au boui-boui de samba, le "voce vai se quiser" de nos soirées du samedi soir. Elle, l´ex du "philosophe" Gabriel que l´on ne voit plus, cette femme potelée qui semble à priori marquée par cette perception que nous avons quélle a à rouler des pelles au tout venant... En parlant avec elle et Marquise ce soir, il m´apparaît néanmoins que cette donzelle me semble de par son apparence, son vêtement, et sa néo-mélancolie mâtinée de soif de vivre, qu´elle est une sorte de femme à la Rohmer. Je lui en fait part derechef, et qu´elle n´est pas notre surprise de l´entendre clamer son admiration pour le maestro... Finalement, la distance n´est jamais où on pensait la percevoir?
T -
T -
Des bénéfices de la macogna
" pour nous ca n´a que des effets bénéfiques: tout est vrai, mais en mieux" comme le dirait Marquise, en qque sorte. True, very true
T -
T -
2/03/2006
T´habite où maman ?
Avec Thomas mais aussi chez Thomas...
Encore une question de territoire ! Pour répondre au blogg de Thomas (ca se passe comme ca...), quelle importance de dormir dans la chambre ou le salon, pourvu que le couple soit ensemble et l´enfant en sécurité. Apportons tout de même une précision : Thomas a lui-même proposé à Clara de s´installer dans la chambre et sous pretexte que nos plans ont changé faut-il revenir sur cette oganisation ? Deux mères consultées, dont je tais à dessein les noms, ont abondé dans mon sens : l´enfant a besoin d´abord de se sentir protégé. A plus forte raison quand il perd ses repères, sa chambre, ses jouets... sa mère. Pour moi cette histoire de chambre n´est pas l´enjeu en soi, c´est un “épiphénomène” des malaises pour ne pas dire douleurs provoquées par la situation. Je me souviens de clara, ce même week end, secouée par des pleurs, hoquetant “ maman la vie est trop dure”. Constat si précoce. Je ne sais pas comment j´ai réussi à retenir mes larmes. Evidemement je me sens responsable de ce que mon propre bonheur implique comme contraintes pour cet enfant.
Résultat des courses, clara au réveil, a senti la tension et la difficluté pour moi de l´absorber, aussi m´a t-elle envoyé son direct illico : “ maman je veux retourner chez Papa”. Et là, je lis dans ses yeux qu´elle ne me fait plus confiance pour la protéger, pas à ce moment: Je suis alors une mère sous influence et je sais que je renforce encore sa détermination, déjà si ancrée, à ne pas venir habiter au Brésil. Et ce sentiment est odieux.
A -
Encore une question de territoire ! Pour répondre au blogg de Thomas (ca se passe comme ca...), quelle importance de dormir dans la chambre ou le salon, pourvu que le couple soit ensemble et l´enfant en sécurité. Apportons tout de même une précision : Thomas a lui-même proposé à Clara de s´installer dans la chambre et sous pretexte que nos plans ont changé faut-il revenir sur cette oganisation ? Deux mères consultées, dont je tais à dessein les noms, ont abondé dans mon sens : l´enfant a besoin d´abord de se sentir protégé. A plus forte raison quand il perd ses repères, sa chambre, ses jouets... sa mère. Pour moi cette histoire de chambre n´est pas l´enjeu en soi, c´est un “épiphénomène” des malaises pour ne pas dire douleurs provoquées par la situation. Je me souviens de clara, ce même week end, secouée par des pleurs, hoquetant “ maman la vie est trop dure”. Constat si précoce. Je ne sais pas comment j´ai réussi à retenir mes larmes. Evidemement je me sens responsable de ce que mon propre bonheur implique comme contraintes pour cet enfant.
Résultat des courses, clara au réveil, a senti la tension et la difficluté pour moi de l´absorber, aussi m´a t-elle envoyé son direct illico : “ maman je veux retourner chez Papa”. Et là, je lis dans ses yeux qu´elle ne me fait plus confiance pour la protéger, pas à ce moment: Je suis alors une mère sous influence et je sais que je renforce encore sa détermination, déjà si ancrée, à ne pas venir habiter au Brésil. Et ce sentiment est odieux.
A -
Rue Godefroy de Cavaignac
Ca fait classe sur une carte de visite... ou dans les histoires que l´on ne raconte jamais à ses petits-enfants : nous nous sommes rencontrés rue Godefroy de Cavaignac, chez l´oncle Matt, l´ami américain. C´était le 19 mars 2005. Et le premier baiser, le 13 mai de la même année à Sao Paulo ! Le dîner du 27 janvier dernier avait une plus jolie saveur encore : 10 mois plus tard, les tourtereaux sont toujours aussi amoureux et ont deux amis formidables. Kate et Matt nous ont recu comme des princes sans conte de fées ni blablabla, en chaussons ( eh oui), et faisant fi du décalage horaire ( merci Kate). Avant que nos couples respectifs posent leur tente, trentaine et enfants dans une ville de ce vaste monde, ce serait cool de se faire un voyage à quatre.
A -
A -
2/01/2006
Ça se passe comme ça chez ces gens là...
On plante le décor: samedi soir dernier, Matt nous plante pour une "fête" qu´on devait pouvoir squatter quelques part dans le neuvième. Bon, la baby-sitter roumaine est bonne pour repartir chez elle après avoir visionné un bout de film. Broucouille qu´elle est la gamine... Changement de plan pour nous, mais c´est top parce qu´on est crevés du dîner antérieur chez les Christenssen... Du coup, et là accrochez-vous parce que le scripte se joue de la temporalité, Marquise et moi-même nous retrouvons a dormir dans le salon, Clara dans la chambre. Ça ne m´a pas enchanté, et je l´ai fait savoir a ma chérie. Qui depuis rumine un peu les choses, mais bon on a décidé qu´on en parlerait très bientôt. Mais, mais, mais, ceci n´est pas propos du jour. Celui-ci réside dans ma perception du problème pour Anne de ce "nomadisme" auquel Clara se trouve soumise du fait même des aller-retours Sampaname et du fait qu´elles n´ont plus leur "chez-soi" (on devrait dire: "chez elles")... Est-ce-que je me trompe Marquise?
Je t´aime.
T -
Je t´aime.
T -
1/29/2006
"American Vertigo" harponné
Critique enjouée et acerbe du dernier opuscule de BHL (American vertigo) publiée dans le NY Times par Garrison Keillor. L´auteur nous dit, et on ne peine pas à le croire, que BHL nous en raconte plus sur la France que sur les EU.
En somme: il faudrait peut-être passer un peu plus que quelques mois au pays de l´Oncle Sam pour en faire un portrait digne de succéder a celui de Mr de Tocqueville. Je ne peux qu´être d´accord. De même que deux séjours respectifs dans des Club Med ne suffisent pas à "connaître" (et encore moins comprendre) l´Afrique.
BHL serait donc un dillétante de l´analyse politico-socio-economico-raciale et de la "question" de l´Empire américain. C´est sans doute le reflet de mes préjugés que de dire que cela ne m´étonne pas...
Extraits choisis et croustillants, mot de la fin: "Bombast comes naturally to him. (...) As always with French writers, Lévy is short on the facts, long on conclusions." On a tous nos préjugés...
T -
En somme: il faudrait peut-être passer un peu plus que quelques mois au pays de l´Oncle Sam pour en faire un portrait digne de succéder a celui de Mr de Tocqueville. Je ne peux qu´être d´accord. De même que deux séjours respectifs dans des Club Med ne suffisent pas à "connaître" (et encore moins comprendre) l´Afrique.
BHL serait donc un dillétante de l´analyse politico-socio-economico-raciale et de la "question" de l´Empire américain. C´est sans doute le reflet de mes préjugés que de dire que cela ne m´étonne pas...
Extraits choisis et croustillants, mot de la fin: "Bombast comes naturally to him. (...) As always with French writers, Lévy is short on the facts, long on conclusions." On a tous nos préjugés...
T -
1/13/2006
Ras-la-foune (bis)
Faut dire que l´alcool coulait à flots, les hommes étaient chauds et que Marquise était parfois dérangée par les avances desdits coquins... Ouais, faut l´avouer, je suis pas très fan de la ras-la-foune, l´idée que d´autres mecs puissent voir le haut des cuisses et/ou la culotte de Marquise, ca ne me plait qu´à moitié. Grrrrrrrrrrrrr, ouah!, ouah!, le mâle grogne, s´emballe parce qu´elle débale trop. J´en apelle aux jugements de mes frères!!!
T - robespierreux
T - robespierreux
1/12/2006
Ras-la-foun
C´est l´appel de Thomas qui a tout déclenché. La jupe en jean mi-cuisses que je portais n´y est pour rien, et pour cause tout mon corps était bien dissimulé derrière une haute table de bar. Deux hommes, assis à côté, déversaient en Francais leurs salasseries depuis une demi heure. Quand ils m´ont entendue m´exprimer dans cette même langue, on a tous ri ! Les frontières sont tombées et on a commencé à boire et continué gaiement à l´arrivée de Thomas- Soirée joviale et inattendue. Et pour la première fois, mon chéri m´a demandée de changer de tenue.
A -
A -
Hédonisme
L´été s´installe aves ses chaleurs, ses pluies diluviennes et ses verres de caïpirinha .
La plage se remplit, les rues de sao paulo se vident. Comme si tous se tenaient à l´ombre, la ville est calme et silencieuse. Petit break aussi pour nous, respiration du couple après le passage des roulottes familiales ( les parents wavelet et la fille walter) – Alors on en profite pour nidifier : un nouveau fauteuil trône dans le salon ( baptisé Thomas Imperator) on fait encadrer nos lithos, on papote pelotte et popotte...
A -
La plage se remplit, les rues de sao paulo se vident. Comme si tous se tenaient à l´ombre, la ville est calme et silencieuse. Petit break aussi pour nous, respiration du couple après le passage des roulottes familiales ( les parents wavelet et la fille walter) – Alors on en profite pour nidifier : un nouveau fauteuil trône dans le salon ( baptisé Thomas Imperator) on fait encadrer nos lithos, on papote pelotte et popotte...
A -
1/10/2006
Parler, parler, parler de nous et de tout
De retour de cette semaine de vacances passée dans la campagne de São Paulo dans la très agréable maison de Teresa, il nous fallait parler tous les deux de notre futur géographico-laboral... Mission accomplie avec Marquise ce samedi dernier. Autre exemple de notre confiance mutuelle et dans notre futur commun, de notre liberté d´expression sans fioritures et fausses protections. On a remis à plat les idées ébauchées jusque là, les opportunités qui se sont fait jour et avons décidé que le principal serait de vivre une vie commune autrement entre deux avions, d´avoir du temps pour nous et de se retouver dans des projets pero ou communs qui tiennent la route. Et que l´opportunisme était aussi un modus operandi partagé!
Cette conversation m´a levé un grand poids des épaules je dois dire, alors que je triturais dans ma tête les tenants, aboutissants, etc tout seul. Que c´est bon de pouvoir se livrer, écouter et parler aussi librement avec ma chérie!
T -
Cette conversation m´a levé un grand poids des épaules je dois dire, alors que je triturais dans ma tête les tenants, aboutissants, etc tout seul. Que c´est bon de pouvoir se livrer, écouter et parler aussi librement avec ma chérie!
T -
1/09/2006
Ritz, desde 1981 no SP
C´est mon repaire dans le quartier – une maisonnette aux volets rouges, bien lookée, toujours remplie et animée, du joli monde. J´y connais la carte et choisis inmanquablement la salada do chefe, à la saveur européenne. Je m´y plais. Ca bouge bien. Je m´y invite de temps à autre à déjeuner et j´aime alors ces journées où mon entière liberté, et ma solitude, deviennent moins effrayantes. C´est même agréable, le sentiment de faire l´école buissonnière...
A - 09 01 06
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