L´histoire est banalement triste: les maffieux du Primeiro Comando da Capital tirent sur tout ce qui bouge dans Sampa et qui porte un uniforme. On transferre 800 des leurs dans des prisons d´ oú ils auront plus de mal à s´échapper, alors les gangsters abattent plus de 70 personnes (décompte non final). Les structures de l´étât se révèlent incapables d´endiguer cette explosion de violence. Les gens rentrent tôt du travail, le malaise s´installe. Le vers est dans le fruit. Et je me souviens de cette phrase d´un ami brésilien que me disait, après que tout sa famille se soit fait dévaliser dans leur maison sur la côte avec des flingues pointés sur leurs tête: il n´y a pas de liberté sans sentiment de sécurite physique...
T -
5/15/2006
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