Edmond et Jules, ces deux frangins littéreux nationaux qu´on évoque avec rondeur tous les ans à l´époque des remises de prix, ces demi-mondains du jacassement bourgeois de fin de 19ème, ceux au nom duquel on fait ou défait "une oeuvre", voila ce qu´ils laissent aussi dans leur oeuvre, évoquant dans le journal le manque de couverture médiatique sur leurs illustres publications de l´anné 1879: "...pas une ligne, pas un mot, pas un bout d´extrait de ces journeaux, qui feraient six colonnes sur un rot de Sarah Bernhardt ou sur un pet de Zola."
Tant d´aigreur, de rancoeur et de petitesse, c´est minable. C´est cela le visage des Goncourt!?!
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