Critique enjouée et acerbe du dernier opuscule de BHL (American vertigo) publiée dans le NY Times par Garrison Keillor. L´auteur nous dit, et on ne peine pas à le croire, que BHL nous en raconte plus sur la France que sur les EU.
En somme: il faudrait peut-être passer un peu plus que quelques mois au pays de l´Oncle Sam pour en faire un portrait digne de succéder a celui de Mr de Tocqueville. Je ne peux qu´être d´accord. De même que deux séjours respectifs dans des Club Med ne suffisent pas à "connaître" (et encore moins comprendre) l´Afrique.
BHL serait donc un dillétante de l´analyse politico-socio-economico-raciale et de la "question" de l´Empire américain. C´est sans doute le reflet de mes préjugés que de dire que cela ne m´étonne pas...
Extraits choisis et croustillants, mot de la fin: "Bombast comes naturally to him. (...) As always with French writers, Lévy is short on the facts, long on conclusions." On a tous nos préjugés...
T -
1/29/2006
1/13/2006
Ras-la-foune (bis)
Faut dire que l´alcool coulait à flots, les hommes étaient chauds et que Marquise était parfois dérangée par les avances desdits coquins... Ouais, faut l´avouer, je suis pas très fan de la ras-la-foune, l´idée que d´autres mecs puissent voir le haut des cuisses et/ou la culotte de Marquise, ca ne me plait qu´à moitié. Grrrrrrrrrrrrr, ouah!, ouah!, le mâle grogne, s´emballe parce qu´elle débale trop. J´en apelle aux jugements de mes frères!!!
T - robespierreux
T - robespierreux
1/12/2006
Ras-la-foun
C´est l´appel de Thomas qui a tout déclenché. La jupe en jean mi-cuisses que je portais n´y est pour rien, et pour cause tout mon corps était bien dissimulé derrière une haute table de bar. Deux hommes, assis à côté, déversaient en Francais leurs salasseries depuis une demi heure. Quand ils m´ont entendue m´exprimer dans cette même langue, on a tous ri ! Les frontières sont tombées et on a commencé à boire et continué gaiement à l´arrivée de Thomas- Soirée joviale et inattendue. Et pour la première fois, mon chéri m´a demandée de changer de tenue.
A -
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Hédonisme
L´été s´installe aves ses chaleurs, ses pluies diluviennes et ses verres de caïpirinha .
La plage se remplit, les rues de sao paulo se vident. Comme si tous se tenaient à l´ombre, la ville est calme et silencieuse. Petit break aussi pour nous, respiration du couple après le passage des roulottes familiales ( les parents wavelet et la fille walter) – Alors on en profite pour nidifier : un nouveau fauteuil trône dans le salon ( baptisé Thomas Imperator) on fait encadrer nos lithos, on papote pelotte et popotte...
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La plage se remplit, les rues de sao paulo se vident. Comme si tous se tenaient à l´ombre, la ville est calme et silencieuse. Petit break aussi pour nous, respiration du couple après le passage des roulottes familiales ( les parents wavelet et la fille walter) – Alors on en profite pour nidifier : un nouveau fauteuil trône dans le salon ( baptisé Thomas Imperator) on fait encadrer nos lithos, on papote pelotte et popotte...
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1/10/2006
Parler, parler, parler de nous et de tout
De retour de cette semaine de vacances passée dans la campagne de São Paulo dans la très agréable maison de Teresa, il nous fallait parler tous les deux de notre futur géographico-laboral... Mission accomplie avec Marquise ce samedi dernier. Autre exemple de notre confiance mutuelle et dans notre futur commun, de notre liberté d´expression sans fioritures et fausses protections. On a remis à plat les idées ébauchées jusque là, les opportunités qui se sont fait jour et avons décidé que le principal serait de vivre une vie commune autrement entre deux avions, d´avoir du temps pour nous et de se retouver dans des projets pero ou communs qui tiennent la route. Et que l´opportunisme était aussi un modus operandi partagé!
Cette conversation m´a levé un grand poids des épaules je dois dire, alors que je triturais dans ma tête les tenants, aboutissants, etc tout seul. Que c´est bon de pouvoir se livrer, écouter et parler aussi librement avec ma chérie!
T -
Cette conversation m´a levé un grand poids des épaules je dois dire, alors que je triturais dans ma tête les tenants, aboutissants, etc tout seul. Que c´est bon de pouvoir se livrer, écouter et parler aussi librement avec ma chérie!
T -
1/09/2006
Ritz, desde 1981 no SP
C´est mon repaire dans le quartier – une maisonnette aux volets rouges, bien lookée, toujours remplie et animée, du joli monde. J´y connais la carte et choisis inmanquablement la salada do chefe, à la saveur européenne. Je m´y plais. Ca bouge bien. Je m´y invite de temps à autre à déjeuner et j´aime alors ces journées où mon entière liberté, et ma solitude, deviennent moins effrayantes. C´est même agréable, le sentiment de faire l´école buissonnière...
A - 09 01 06
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